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L'entreprise a moins d'un an et on en parle déjà dans le monde entier. C'est aussi l'aventure qui, alors que l'intelligence artificielle devient chaque jour plus stratégique, incarne le mieux les espoirs de la France et de l'Europe. Mistral AI, dont le siège est à Paris, réussit avec une trentaine de personnes à tenir tête aux Big Tech. Aussi bien à Microsoft, qui, à travers son investissement dans OpenAI, tire parti au mieux de ChatGPT, qu'à Google.
À la tête de Mistral AI, Arthur Mensch, tout jeune papa de 31 ans accro au vélo, a justement choisi de quitter l'équipe de DeepMind, l'antenne d'intelligence artificielle de Google, pour se lancer dans l'aventure avec Guillaume Lample et Timothée Lacroix, deux autres chercheurs qui, eux, ont fait leurs armes chez Meta. Apparue il y a moins d...
Un de mes amis me disait combien on parle le français à la Silicon Valley. Saurons-nous enfin donner à nos brillants cerveaux, comme celui d'Arthur Mensch et de ses amis, les moyens de mettre leurs talents à la disposition de l'Europe, plutôt que de migrer aux USA. Il y a quelques années aux USA, et je crains que cela n'ait pas changé, voire se soit aggravé, la moitié des titulaires d'un doctorat es sciences n'étaient pas nés aux USA !
pour mettre au point les puces électroniques du futur Sam Altman, PDG d'OpenAI, veut il investir jusqu'à 7000 milliards de dollars ( comme vous le dites ci dessus ou 700 comme je le vois dans votre version papier ?
ce manque de rigueur m'inquiète un peu...
On lit bien entre les lignes que ces jeunes gens formidables ne sont pas aidés par des politiciens formatés à l'ena dont la seule ambition est de mettre les sujets sous contrôle et suis impôt. 200 ans de retard. Espérons que cette startup va persévérer et que nos gouvernants vont la laisser se développer.